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bubble street

31 juillet 2006

here comes the sun.

light_in_his_eyes

ça y est ça reviens. les fourmis dans les bras. j’ai envie de bouger dans tous les sens. ça monte. portable en silencieux. musique douce. chansons au par cœur sur mes lèvres. photographie. putain ça reviens. les papiers s’accumulent. il y a même le fusain qui se laisse faire en caresses. mmmh qu’est-ce que c’est bon... ça monte/ et crash. désordonnance  d’idées en provenances de mon ailleurs qui s’ouvre là. tout de suite. peut-être juste pour une nuit. idées noires. qui se montent en bonheur grâce à tout ce besoin de matière de couleurs et de sentiments. une jouissance qui ne tient à rien du tout. qu’est-ce qu’on s’en fout. c’est là, en moi. une fumée qui m’asphyxie de la réalité. je vole enfin sur ma planète, tu m’as manquée ma belle. j’ai tout à donner. des toiles m’attendent. breath.

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29 juillet 2006

what happenned to you

up_to_the_sky

low battery. ça charge. low energy. how do you spell it. honey bunny. ça clash sous le termomètre, comme de la fièvre en plein été./mais peu importe/ occupons nous de toucher notre bleu du ciel. pendant que summer time nous sourit.

26 juillet 2006

atchoum'

bordure

mon amoureuse** résume drôlement bien le concert de l’autre soir. alors je vous laisse y faire un tour.
durant mon sommeil j’aurais également brouillonner une drôle de phrase . check.
il y a des autres dimensions. des vacances. un avenir. cette fois pour de bon. hey, je l’ai dans la peau. encore un départ pour chamonix. ensuite l’océan et sa bretagne. j’en ai plein les yeux. de l’amour. se baigner toute nue le long des courants d’air. avec des nuages qui pousse sous le poumons gauche. anticiper les restes de notre monde. pour atomiser son sommeil posé sur mon ventre. dessiner son cœur que je vois battre sur mes lèvres. s’endormir tout nu le long de notre bleu du ciel. sculpture de mon amour. pff je t’aime. encore de la soupe d’amour. mais c’est bon signe hein.

 

21 juillet 2006

yesterday night in vienne

amelie

c'est grave de tomber amoureuse d'elle?


1 juillet 2006

je conclu que je ne suis plus qu’un nous. lui et


ile_de_r_2_008

je conclu que je ne suis plus qu’un nous. lui et moi. alors je n’écris rien. je ne peins rien. je ne lis plus. je me désaccorde de la moindre solitude. et je pense trop, et le temps passe beaucoup trop vite. alors je claque la porte pour au moins 13h. histoire que je n’ai plus aucune excuse pour ne pas écouter mon manque de mots qui m’effondre.

je vois tout autour de moi les gens qui basculent. dans un autre côté. comme si les premiers cheveux blancs apparaissaient un à un sur leur tête, en oubliant de recouvrir la mienne. comme si ma vie s’était arrêtée pour être sûre que quelqu’un surveille le monde vieillir. je me rends compte qu’à présent les carafes d’eau  en terre suzette remplissent déjà les marchés aux puces. que mon homme à pris 3 ans de sagesse depuis qu’il partage ma vie sur pause. mon amoureuse est en route pour le picadilly circus. j’ai un bouquin de 688 pages d’histoire de l’art à décortiquer pour septembre. ma mère à des tresses jusqu’aux fesses, joue du youkoulélé et est en ce moment même en train de peindre des totems et de pondre une dizaine de toiles pour le 21 juillet, ce qui donnera une superbe expo dans une galerie du New Hampshire préparée en exactement trois semaines. mon père est en inde en train de dégotter un contrat avec l’armée indienne. je me rend compte que je suis réellement une fumeuse. mes mouflons d’artistes rentrent dans leurs écoles, réussissent leurs concours, partent, exposent, m’embrassent. tout est fluide bon sang. tout coule et roule sur un léger fil. je dois être projectionniste, ou endormie. pour le reste tout semble tenir. ce soir je rencontre richard borhinger après son concert. il m’accorde du temps. à moi. sans raison.

*pixie il faut que je t’écrive un mail. excuse moi pour le manque de nouvelles.

*allez voir par là : yann-gaël poncet  

 

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24 juin 2006

long way

le_mur_by_belzebuth

la  trouille au ventre je voulais m'enfuir. les larmes. tout qui se resserre sans meme laisser de la place aux maux pour s'échapper.  jusqu'à ce vide. rien n'est pareil. ma peau me bûle. hurle. comme dans ces cauchemards où je deviens muette pour être  privée de hurler. j'ai peur que tout ça est été de trop. les fourmis sous les ongles qui griffent ma haine. contre moi ce que je suis et ce qui me retiens d'ouvrir la bouche. je bave de mots qui ne savent plus. alors on se demande pourquoi. nous deux amours se retrouvent accroupis à pleurer toute cette trouille qui fait que rien n'est vraiment sure. rien n'a décider de nous porter bonheur. pas meme les sourires que je me suis jurée de lui donner. quoi qui ce passe... juste mon amour au bord de mes lèvres. sans ne rien attendre d'autre je serai là. nue du reste.

pic's by belzebuth

4 juin 2006

behind my background

eyes_in_my_hand

et je sais que j'aime néttoyer les miroirs parceque j'ai l'impression de rentrer dans ma vie. ça glisse le long de ma ligne. de vie. je m'observe. m'acharner en sentant le geste trop lourd et rapide. tordue. le long de ma ligne. de vie. on y trace les contours de ma traversée. pour basculer en y laissant le saut et le chiffon bleu. de l'autre coté de la longue lignée. pour quitter ce qui y est resté. rentrer à l'interieur de mon regard. sentir mon tout s'emboiter en intraveineuse . le long de ma vie qui  s'aligne des rails d'horizon poudrées.  voir de l'autre côté. où je suis quand fermés, mes yeux s'éloignent. il n'y a plus de planché. de quel autre coté ai-je glissé?

nouvelles du front: joël and clementine are feeling all right.

31 mai 2006

paquerette

b_016

dans toute cette maladie d’amour, je me retrouve à n’écrire que pour lui. je disparaît du reste. je n’ai plus rien à donner de moi pour un certain temps, parce que il n’y a que lui. on vit chez l’un et chez l’autre sans se lâcher une seconde.  je deviens pour la première fois jalouse. je deviens dangereusement amoureuse. c’est tellement délicieux. je suis tellement bien. il n’y a pas de complications, c’est là juste pour être vécu. et le reste on s’en fou. je ne suis pas capable de mettre autre chose par ici.

P.S : je continue de vous lire hein. ce n’est pas parceque je ne dépose plus grand-chose ici que je vous oublie.

et puis l’année prochaine je serai une habitante de la colline de fourvière messieurs dames.

18 mai 2006

joël + clementine = etnernel sunshine

b_008

je m’engourdis, je me lasse de tout ça. je suis ailleurs dans un monde qui est bien trop rose et doux pour que j’ose m’en éloigner. j’ai sentie ses larmes dans mon cou, comme une promesse que tout commence, et que ce n’est pas rien. que la vie nous enlace déjà en nous protégeant et en nous emmenant sur des pas sures. moi je ne sais rien. bizarrement tout me laisse croire que rien ne nous dégueulassera les boums boums qui font frémirent jusqu’à nos cils ce que l’on ressent lorsque l’on s’aperçoit. ces yeux sombres veillent sur moi, rien est anodin. on s’enfuit sous les draps, on laisse nos peaux s’embaumer de plaisir, sous les feuillages des arbres, l’herbe fraîche qui pigmente nos frissons comme une photo dérisoire qui laisse tout s’émouvoir. le principal c’est de se dire je t’aime en y pensant tellement fort, qu’aucune de mes minutes n’a pu s’écarter de lui. les gouttes de pluie qui s’effarouchent entre nos lèvres, et ses mains qui me réchauffent n’importe quel chagrin. ses doigts de pianiste qui s’envolent dans leurs paroles qui lui viennent de son silence, de ce qu’il me laisse voir pour nos boums boums. délicieux. comme le henné qui s’efface de ma main, comme le tout qu’il me donne. de l’amour qui se perd tellement il y en a, il suffit de tendre les phalanges pour en porter en réserve dans notre bulle. sur le même air qui protège nos oreilles. couper du monde sauf pour se dire je t’aime/ c’est de la soupe d’amour que je vous sers, mais c’est ce que je suis, du sucre d’orge avec du rouge jusque sur les lèvres, des bulles en forme de lui qui s’évaporent de ma tête passoire aux autres. je me fou tellement du reste. je suis tellement bien. ça m’enveloppe enfin, j’ai même des timbres sur la langue, tellement les mots fusent au même titre que mes baisers. pour lui. Mister B. mon amoureux.

8 mai 2006

my baby shut me down

leaves_of_grass_by_little_row_boat1

pic by little row boat

vous savez il n'y a rien de vraiment clair. on pourrait rester là à se faire pardonner tout ce qu'on insinuait autrefois. entre nos virgules de regards et de cils. ses yeux sont trop importants, je ne me défais d'aucun de leurs mouvements, du sombre comme un mystère. des doux rêves attéris sur des douces gerssures. je n'ai peur de rien. même si je n'ai vécue que pour nous depuis qu'il est là. j'ai les doigts de pieds qui gigottent même d'avantage, les mains qui tremblent au rythme des cris d'amour qui me brulent doucement, juste pour que je n'oublie rien. pour ne pas commencer à parler avec de l'imparfait. la pluie revient au même titre que les lignes d'encre et de lettres sans âmes et baclées. mais tant pis. j'ai le sourire qui n'arrive pas à se barrer de ma bouche, et la nocturne qui m'a enlacée continue de déposer son parfum hésitant a embaumer ses gestes tendres, tellement tout semble là sans rien de plus. ni de trop. ni de moins. ssssh. .

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