ébullition cardio-vasculaire./
il est pas posé la-bas. Monde bullaire touché par un virus marthien. Il se declare par la perte d'une boussole à aimantation puis elle évolue dans un brouillard neurologique profondément gris, avec des phrases de clairevoyances qui ébloussent beaucoup trop. ces conneries se terminent. D'une façon ou d'une autre c'est nous qui decidons vraiment concrètement. je suis dans le train. direction St Alban. j'ai flané sur son toit encore une fois. je suis prise dans un nuage pollué. en repensant à lui et toutes celles qui l'on baisé. et toute la detresse de ces autres qui m'entourent. les gares sont vides. les dimanches comme j'aimerais les detester. par la façon de narguer ceux qui sont seuls. ou ceux qui reprendront le court normal de leur vie. en oubliant toute leur connerie qui les avaient fait changer. une seconde. oublier je ne sais pas. mais même mes rêves nocturnes. j'efface à la gomme noire dèsle matin. la peur de tout recommencer. ça doit etre ça. recommencer encore une fois. comme on dit "non" de la tête. juste une simplicité appaisante. en arrettant de vouloir transformer ma vie en un conte de fée. un dé à coudre au bout du doigt. dans une legereté délicate, une protection sereine, contre cette redondance d'insistance amoureuse. recoudre les morceaux avec du fil de couleur, rapiecer et decouper. en suivant les étapes numérotées de 1 à 9 . voilà tout.