parce qu'il y a des gens qui ne sont beaux et
parce qu'il y a des gens qui ne sont beaux et sensuels que lorsqu'ils parlent de musique. de ces touches de pianos que j'aimerais aimer. seule contre tous les autres. me retrouver seule. que plus un seul bruit ne puisse ebranler mon calme. même les calements ne servent à rien. personne et tout le monde à la fois le sait. mais j'ai le ventre qui me plit en deux, qui me met en désaccord. tout ce que je sais c'est que j'ai une envie de silence, sans personne. sans rien. vide. le vide. l'extrème tout de quelque chose de beau parce qu'il est seul et qu'ils se fou du reste. un egoisme dans un cocon renfermé sur des rêves. entre deux paupières , deux cils , deux regards. mais ça. c'est la chose la plus durt à payer. oui... parce qu'il faut payer. ce n'est même plus question d'émotions. de sentiments. de souffles. de voix. de mots. ou de regards. non. c'est question de destin, les choix ont disparus de ma route, et mes converses ne me font plus fantasmer. j'ai grandi. peut-être. j'ai changé. j'ai appris en tous cas, enfin ça c'est ce qu'on se dit pour se rassurer. alors je laisse mes pieds nus sur le carrelage froid qui m'attire et qui me donne envie de m'y allonger et de me laisser engourdir par le froid, sans un mot. juste du silence, seule et sans un parasites qui grésillerait ce moment. juste ça. je suis prete à tout. juste pour ça.